D’autre part, et pour conclure, même avec des axes de transmission retravaillés (pour améliorer la vitesse, ce qui est parfaitement possible), les 62 000 tonnes de ce concept pourraient commencer à être limite pour les deux K15 (un troisième réacteur (si possible ?) amènerait des travaux et des modifications là aussi considérables) ? D’où l’intérêt de rester dans un modèle relativement proche du CDG, en particulier afin de faire (enfin) fructifier son expérience acquise (parfois même dans la douleur), bien qu’amélioré (et évidemment modernisé) et répondant principalement aux rectifications et inconvénients (voir commentaires précédents) constatés sur le CDG. Ceci surtout si on veut rester dans un coût, et un processus, aujourd’hui mieux maitrisé.
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